Impact Immobilier : Compétences au féminin, sourires garantis, transactions réussies !

Nous avons eu le plaisir de rencontrer trois femmes exceptionnelles à l’agence Impact Immobilier : Aurore, Blandine et Ingrid. Leur expertise, leur dévouement et leur passion pour leur métier sont palpables dès les premiers instants. Ensemble, ces trois femmes rayonnent de compétence et d’énergie, prêtes à mettre leurs forces combinées au service de vos transactions immobilières. Découvrons l’histoire inspirante de ces trois sourires qui transforment le paysage de l’immobilier.

Je suis bourguignonne et suis arrivée dans le Berry en 2001. Mon parcours est très atypique : j’ai commencé par la coiffure que j’ai exercée pendant 20 ans. Et oui ! J’ai eu un salon tout en étant manager couleur, et à 35 ans, j’ai dit : Stop ! Ensuite, je suis rentrée dans le commerce dans un groupe spécialisé dans le coiffage professionnel, où je vendais des stylers pour les cheveux. Puis, une boîte de produits cosmétiques capillaires suisse-allemande, et enfin L’Oréal pendant huit ans. On se connaît avec Aurore depuis 18 ans à peu près et on parlait d’une collaboration depuis un moment, mais pour moi, ce n’était pas le bon timing. Quitter un poste avec un certain confort pour un poste d’agent commercial où la rémunération peut varier. Et puis, la vie a fait qu’il y a un moment, je suis partie de chez L’Oréal, j’avais trouvé un boulot dans un labo pharmaceutique et finalement, ils ont mis fin à toutes les périodes d’essai. C’était le moment et l’occasion de  commencer l’aventure à l’agence. C’était en juin 2018, et depuis, je prends vraiment du plaisir à être sur le terrain. 

Je me lance ! Par contre, je suis vraiment native de Bourges moi (rire). Mon cursus est relativement simple. J’ai fait ma scolarité à Bourges jusqu’à mon bac et j’ai eu le goût de ce métier tout bêtement : mes grands-parents ont acheté un appartement sur plan. On a été le visiter une fois terminé et j’ai dit à mes parents: « Je veux faire ça ! ». Visiter et découvrir des lieux, ça m’a vraiment plu. Je me suis renseignée sur comment poursuivre dans cette branche-là et je suis partie ensuite en BTS profession immobilière à Tours pendant deux ans, où j’ai eu l’occasion de commencer à l’agence Impact Immobilier en tant que stagiaire en 2016. ça va faire huit ans maintenant et c’est un métier qui me plait, le côté administratif un peu plus que le côté commercial, je l’avoue. Mais il y a eu aussi le souhait de poursuivre les études suite à mon intégration à l’agence. Je  poursuis actuellement une formation en tant que décoratrice d’intérieur à distance pour conseiller au mieux les clients et leur permettre de se projetter plus facilement. En fait, j’ai eu l’occasion de pouvoir rester ici de A à Z depuis que j’ai commencé vraiment ma carrière dans l’immobilier. Et j’avoue que pour moi, en ayant eu la comparaison avec mes autres camarades de classe de BTS qui ont été formés dans de gros groupes, c’est totalement différent. L’encadrement et la formation sont différents dans une structure à taille humaine. Et c’est ce qui fait que c’est un métier qui me plaît toujours ! 

Pour ma part, j’ai effectué une formation post bac en Fac de droit à Tours. Puis, direction Paris, où j’ai fait une école d’immobilier qui s’appelle l’ESPI à Montparnasse. C’était une école sur trois ans avec une année supplémentaire où je me suis spécialisée en urbanisme et en expertise. Suite à cela, j’ai mon premier job à Paris dans une boîte d’expertises et au bout d’un an, je me suis vite rendu compte que boulot/métro/dodo ne me convenait pas.Et le gros questionnement arrive : Est-ce que je suis faite pour ça ? J’ai connu et grandi à la campagne, et ça ne me convenait absolument pas. Puis, sac sur le dos, je suis partie en Australie pour 15 mois faire une école de langue, passer le diplôme et bosser et enfin retour en France. Je me suis mise ensuite dans la copropriété pendant 3 ans sur Tours et pour ça : il faut être motivée. C’est la meilleure de toutes les formations, quand tu passes par la copro, par une formation de gestionnaire de patrimoine, je pense que tu peux faire tous les métiers de l’immobilier, tellement c’est large et complexe. Et puis, je suis revenue à Bourges avec mon petit loulou. J’ai tout de suite retravaillé à l’étude de mon papa. Et enfin, un an après, j’ai repris l’agence Impact Immobilier en juin 2009 et la c’est le départ de zéro, démarrage toute seule, qui a duré un peu plus de six ans ! J’ai donné beaucoup de formation, je prenais des jeunes de BTS et d’IUT comme Blandine. J’en ai eu cinq, six avant elle pour former, ne pas être toute seule, avoir un petit peu de vie et j’ai adoré. J’aime transmettre ! Jusqu’au jour où ça a commencé à bien marcher. Je savais qu’il me fallait quelqu’un et Blandine était là : c’est un vrai coup de cœur. C’est comme ça que l’agence a grossi. 

Aurore : Oui, j’ai baigné dans l’immobilier toute petite, et pourtant, je voulais être fleuriste ! Rien à voir. Et puis, au fur et à mesure des années, la vie a fait que l’immobilier était un peu une évidence. J’ai toujours baigné dans le droit : mes grands-pères, paternels et maternels, étaient tous les deux notaires, mon père également. Il y a toujours eu du partage et des conversations autour de ça dans la famille. J’ai également un frère architecte et surtout une maman qui s’est mise à travailler sur le tard quand on est tous partis en études la même année. Elle s’est mise à prendre le service négociation de l’étude de mon papa et je l’ai vu s’éclater, se transformer ! J’ai donc baigné un peu dans tout cet environnement juridique, maison, patrimoine.

Aurore : Oui, complètement ! J’avais déjà roulé ma bosse depuis quelques années dans l’immobilier et j’avais quand même vu pas mal de choses. C’était le moment… Il fallait qu’il y ait un truc qui bouge, il fallait que j’avance. Je me suis remise les idées au clair et en 2009, je me suis lancée et le travail, clairement, sauve ! Et cette attache à cette ville, et cette région dont je suis originaire. 

Aurore : Ça faisait des années que je cherchais et quand on fait un métier comme le nôtre depuis 15 ans, c’est compliqué de changer d’adresse, et encore plus de changer de secteur ! J’aime le patrimoine et je ne trouvais pas quelque chose qui m’identifiait, qui me ressemblait. Quand j’ai vu la pancarte à louer ici, j’appelle mon confrère en lui disant : « C’est disponible, je le sais. Montre-moi si c’est possible ! ». L’emplacement au cœur de la ville, être placé comme ça devant l’église, dans le nœud central du centre, c’est vraiment sympa. Tu es sur une place et tu es en angle. Et puis, nous n’avons pas changé de secteur ! Tout le monde aujourd’hui me dit « ce lieu, personne ne le voulait ». Personne ne s’imaginait qu’une implantation avec une nouvelle devanture comme ça allait être aussi perçue, aussi impactante. Ceux que l’on connaît depuis des années reviennent nous voir, ils en parlent et ça nous donne le sourire. Et depuis quelques mois, avec la nouvelle agence, des personnes rentrent en nous disant : « quel beau lieu, nous ne le connaissions pas » Pour nous, c’est la plus belle des récompenses !

Aurore : Récemment, j’ai une dame de Paris qui venait juste d’arriver sur Bourges, elle a vu notre agence dans la rue, et elle s’est dit «  Il fallait que je vienne vous voir pour ma recherche. C’était obligatoire, il fallait que je vienne vous voir ». Le but est donc atteint ! Les clients viennent aussi par le bouche à oreille, ils te connaissent, ils savent comment tu vas travailler, ton sérieux et l’équipe. Ce qui est aussi vraiment satisfaisant, c’est que c’est justement toujours la même équipe et ils nous connaissent toutes les trois. Pour les clients, ce n’est pas juste Aurore, c’est Blandine, Ingrid et Aurore. Et ce trio, c’est très fidélisant et rassurant pour eux.

Aurore : L’accueil est très important, j’ai toujours tenu à ce qu’on reçoive les clients. On fait un métier où il faut prendre le temps d’être dans la communication parce qu’il y a des dossiers parfois compliqués. Des divorces, des successions, on a donc un côté très psychologue. Le nombre de fois où l’on a vu des clients en détresse parce qu’ils étaient seuls ou démunis face à des situations compliquées. Et c’est très important d’avoir un lieu d’accueil pour échanger, pour prendre le temps et que les clients soient en confiance. Et puis, vu que l’on rédige tous nos actes et que l’on fait toute la rédaction, il faut récolter les infos, les documents … Donc, j’ai toujours voulu avoir un lieu où se poser, où accueillir, où parler et où nos clients se sentent bien.

Aurore : Ça a toujours été un choix, un vrai choix, de travailler avec tous types de clientèles et tous types de produits, tous sans exceptions. Nous ne voulons pas sectoriser! Ce qui prime, c’est une belle présentation, des belles photos et être au prix le plus juste par rapport au marché. Nous vendons des fermes, des petits appartements, de la très belle maison, nous vendons à Bourges, et toute la région autour… Il y a une zone d’achalandage assez large et on adore. Nous travaillons vraiment avec tous les budgets !

Aurore : Non, vraiment, il ne faut pas hésiter ! La devanture fait que l’on s’identifie à une agence haut de gamme et ça nous a fait rentrer depuis quelques mois des produits dans ce sens. Mais nous avons tous les produits dans plusieurs secteurs ! Et qui serions-nous si nous n’aimions pas les challenges ?

Aurore : Oui, je pense que quand nos entourages et nos clients ont vu l’ampleur des travaux, ils ont peut-être un peu compris pourquoi cela tarde, mais ne vous inquiétez pas : ça arrive ! J’ai beaucoup de personnes à remercier, parce que je n’ai jamais rien fait non plus et nous avons des clients, des partenaires, pour qui ça nous tient à cœur, bien sûr. Il faut juste que je sache quand est-ce que les travaux seront finis pour lancer cette inauguration. Mais vraiment, elle arrive !

Aurore : On est une famille, c’est notre maison : on vient comme ça. Il n’y a pas de journée type ni de quotidien tellement le travail bouge tout le temps. Ingrid est une ultra-indépendante donc elle a des coups de bourre où elle va être plus ou moins là. Moi, beaucoup de visites, mais surtout beaucoup de juridiques. Avec Blandine, on contrôle et rédige des actes et des compromis tout en s’occupant de toute la constitution des dossiers. Notre quotidien, on s’assied parfois, on boit de la tisane, on s’achète des fleurs, on se fait du resto ! Notre force aujourd’hui, c’est de se sentir bien ensemble et c’est pour ça que je ne veux pas plus de commerciaux ou de personnel. Je n’ai jamais voulu une grosse structure et il faut l’avouer, je ne suis pas une manager en équipe. Ce n’est vraiment pas mon dada. Je suis plutôt quelqu’un de simple et j’aime bien ne pas être la directrice.